Ils avaient regagnés la lisière de la forêt deux jours plus tard. Ensemble ils avaient pu dénicher quelques lapereaux et blaireaux pour se nourir. Ni l'un ni l'autre n'étaient bavard au départ, mais leur entente était suffisante pour rester discrets, et ordonnée pour chasser avec succès. Puis petit à petit, les mots étaient sorti, apprenant plus ou moins à se connaître, pour le peu qu’ils avaient à apprendre l’un de l’autre.
En arrivant au village celte, Aloka s'était sentit soulevé par un souffle venteux, chez lui... Mais lorsqu'ils pénétrèrent dans les ruines, un coup de feu retentit. Aloka se sentit envahir par la rage, il n'acceptait pas la présence des verticaux chez lui. Il n'avait pas sentit les trois odeurs provenant du même endroit...